Extrait du journal

En plus, nous nous mettrions éditeurs. Nous savons nombre de manuscrits fort intéressants qui dorment en des tiroirs, parce que les éditeurs leur imposent de trop longs délais ou leur font des conditions trop dures. Nous recevons, d’autre part, nombre de lettres, où l’on nous demande des livres intéressants qu’on puisse faire vendre ou mettre dans des bibliothèques paroissiales... Nous pourrions éditer deux livres par mois, et ce serait un champ nouveau qui s'ouvrirait à la Bonne Presse....