Extrait du journal

Si l’Auvergne a donné Pascal, elle a aussi donné le Pape Gerbert. Dans les temps présents. ce ne sont pas les hommes politiipies qui lui firent défaut. Deux académiciens nous en sont venus, MM. Francis Charmes et. Pierre «le Xo'hac, celui-ci très noble poète dont la Voix enjoint. élans le culte des grâces et «les souvenirs averses, celle* du sympathique Verrenouée, tandis «pie l'accent «l’Amélie Murat fait écho à celui, si tendre, «le Cécile Sauvage. Et [mis. il y a Henri Fourrât, taxi redit les charmes «le l’Auveergne, de ses t«ois, de ses eaux, «le »es prairies, en contant les aventures de Gaspard. En fin de compte, nul ne serait en droit d’en Vouloir à M. Jean Ajalsert. autre Auvergnat, «le cette déclaration pila faite : « Mon pays est le plus beau de tous les pays, écriVais-je à vingt ans,

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