Extrait du journal

Je n'en veux pour exemple que la déplorable, l'inconcevable manie de couvrir de montagnes de fleurs et d'un amas de couronnes le cercueil des morts. Les plus pauvres, les plus dénués de ressources se croient obligés, en pareil cas, de faire des folies; c'est un luxe effréné, un sport. Cela, il est vrai, fait marcher ou même a fait naître tout un commerce, celui des fleurs naturelles; des wagons entiers arrivent de Nice tous les jours. Je ne suis pas autant frappé de cette observation que d'autres peuvent l'être....