Extrait du journal

Confiantes dans l’autorisation qui leur avait été donnée par le ministère des Cultes sur les instructions duquel elles avaient agi pour se mettre en règle, les religieuses de la Providence de Saint-André continuè rent à y soigner les malades. La chose du rait ainsi depuis plusieurs années, quand il y a quelques mois, sur une plainte adressée au Parquet de Montmédy, des poursuites furent intentées aux religieuses de Breux pour reconstitution non autorisée d<3 Con grégation. gur la demande des intéressées, le tribunal les renvoya à se pourvoir de vant le Conseil d’Etat contre le décret or donnant la fermeture de leur établissement, et leur accorda un délai de deux mois pour établir que leur Congrégation était pure ment hospitalière. Le ministère public fit appel de ce juge ment, et s’appuyant sur le décret ayant or donné la fermeture de Breux, il réolamait la condamnation, pour reconstitution de Congrégation, de la supérieure et des deux religieuses en formant le personnel. La Cour de Nancy, devant laquelle Par faire fut portée, vient d’acquitter pure ment et simplement les religieuses. Le mi nistère publie s’est pourvu en cassation contre cet arrêt....