Extrait du journal

L’Anglais, sous beaucoup de rapports-,nous est très inférieur; il peut cependant se glorifier de la manière dont il se marie : le plus souvent c’est par inclination. Trè9 âpre au gain, on le voit courir le monde pour s’enrichir, soit par le commerce, soit en rançonnant les peuples faibles. Une fois muni de ressources suf fisantes, il ne cherche pas un sac équiva lent, les femmes n’èn possèdent pas. La récompense de tous^ ses efforts, c’est le droit de choisir Suivant son cœur. '' * * * Les jeunes filles seront d’autant plus recherchées que leur mérite personnel sera plus grand : la famille constituera sur ses véritables fondements l’affection mutuelle, la prédominance des qualités morales et physiques, et si elle reste exempte de vices et d’ivrognerie, les enfants ne seront ni scrofuleux ni rachi tiques. » * * Quelle différence avec les unions à base d’argent, sans attrait mutuel, réglées sur la balance du notaire ! • C’est en France un lamentable spec tacle, dans les classes libres principale ment. D’épouvantables laiderons élevés parmi les tortures de l’orthopédie : celle-ci munie d’un palais d’argent, celle-là portant les flétrissures d’un sang dégénéré. Filles de juifs, dots volées à la bourse...