Extrait du journal

DEUXIÈME PARTIE IV — J’ai bien cherché, je 11e vois rien, reprit la jeune tille en secouant la tète tristement; et celte pensée de fuite, de retour dans la patrie que les paroles de Laure remuaient dans son esprit au lieu de lui apporter une consolation, rem plissaient au contraire d’une amertume sans bornes. — Que voulez-vous aussi, continuat-elle, les yeux tixés à terre, d’une voix lente et désolée. Une femme est si faible, quelque énergie qu’elle possède ! Ses forces physiques et morales dont les li mites... Partir seule, toute seule ! Elle insista sur ces deux mots dans...