Extrait du journal

(encc économique, se trouvent singulièrement menacées. Non seulement les planteurs ne pensent vendre le sac de café au-dessus de 30 milrets (environ 36 francs), ce qui ne couvre pas leurs frais de production à 2 ou 3 mitres près ; mais encore. I organisation de la Defésa do café se voit de plus en plus débordée.. Elle est heureuse quand elle peut conclure des accords de troc avec des pays étrangers, comme avec I Allemagne, par exemple, qui lui prend du café en échange de la livraison de 350.000 tonnes de charbon. De la sorte, un léger soulagement est obtenu, qui, par ailleurs, ne permet pas de réaliser le moindre bénéfice monétaire. La plupart du temps, elle est obligée de faire procéder à la destruction du café qui est employé à la fabrication d’alcool ou de briquettes, à la construction de routes, au chauffage des locomotives....