Extrait du journal

On ne peu! que s’en réjouir. Ce n'est pas par amour des Allemands que nous désirons les voir à l'aiiri d'une révolution avec tous ses excès. Ils nous ont fait trop de mal ; et selon les parognes que prononçait dimanche dernier M. Rarlhou devant « La Fédération des Mutilés ». ils ont fait la guerre comme un bandit commet un crime ; ils n’ont pas droit au respect dû aux soldats invaincus. Mais en France, nous serons heureux de penser que l'Allemagne, devant expier, aura demain à sa tête un gouvernement régulier auquel nous pourrons faire connaître et imposer les indemnités qui nous sont légitimement dues. Au contraire, avec l’anarchie triomphante, dans un pays livré à la guerre civile, notre créance sur l’Allemagne perdrait la plus grande partie (!•• sa valeur...