Extrait du journal

Ce que voudrait notre «lecteur assidues, c’est qu’il y eût très peu de bourses, mais que, au terme de la route, la bourse conduisît à la situation: « Choisissons,dit-il, parmi les enfants, les intelligences et les volontés d’élite, et plaçons-les dans l*s conditions nécessaires pour qu’elles atteignent leur complet développement et leur maturité parfaite, afin qu’elles ne maudissent pas un jour ceux qui les auront fait sortir de leur obscurité. Celles-là seules ont droit aux mesures exceptionnelles qui arrachent le paysan à la terre pour l’élever à la chaire d’une Faculté. Et je voudrais précisément, vu leur rareté et l’intérêt incontestable qu’elles présentent, qu’à elles seules fût offert le bénéfice d’une bourse, mais non point d’une bourse destinée à les mener au bout d’un vague enseignement secondaire. Je voudrais d’une bourse conduisant le jeune homme au point où il aurait la certitude de pouvoir désormais subvenir à ses besoins. »...