Extrait du journal

« Je voterai donc la loi, dit. Glémenbeau en concluant, mais à regret, je le répète, avec l’espoir que le Parlement français comprendra qu’il n’a pas dit son dernier mot; que le projet de loi a été établi « au petit bonheur ». C’est la liberté que nous devons poursuivre, atteindre et réaliser. Son heure viendra. Les arrangements hybrides que l’on va substituer à l’antique alliance de l’Eglise et de l’Etat ne peuvent tenir longtemps en face des revendications de la conscience humaine qui exigeront que l’homme soit mis définitivement en présence de sa dignité et de sa personnalité. (Vifs applaudissements.) »...