Extrait du journal

songe à leur offrir même une parcelle de pouvoir, et on leur épargne jusqu'à la tentation de la chute ; mais les radicaux euxmêmes (en supposant qu'ils demeurent un parti distinct et consistant) ne peuvent pas songer à gouverner, même partiellement. N'ayant pas la majorité pour leurs idées et ne pouvant gouverner avec leurs principes, ils devraient rester clairement, fièrement, un parti de contrôle, d'opposition et de propagande jusqu'au jour où la majorité du pays, éclairée par eux, arrachera le pouvcir aux réactionnaires mal déguisés qui le détiennent....