Extrait du journal

J'imagine et j'espère que le pieux journaliste, prenant quelques exceptions pour la règle, s'exagère cette « grande bonne volonté » des professeurs de l'Université à l'égard des externats cléricaux. Mais ses affirmations sont à vérifier, à contrôler, et les républicains laïques doivent connaître les desseins, les espoirs de leurs adversaires catholiques. Ces .desseins, ces espoirs, la Vie catholique les exprime ingénûment en ces termes : « Si le' système de nos écoles se généralisait, nous posséderions la moitié des élèves de l'Université ; si nous prenions un peu plus le chemin de l'Ecole normale, nous aurions une bonne partie des professeurs : le sort de l'instruction publique serait dans nos mains. »...