Extrait du journal

sans objet. Il n'est pas vrai que les républicains injurient et calomnient les catholiques, ils ne font que les rappeler au respect de la loi qui doit être égale pour tous les citoyens ; et, lorsque M. de Mun a dit ces paroles : « La première condition pour que la paix existe dans l'Etat, j c'est que la loi y soit respectée », les cléri- j caux ont du s:avouer à eux-mêmes, s'ils j ont daigné sonder leurs consciences, qu'ils ; sont les véritables fauteurs de l'agitation \ des esprits, en France comme ailleurs. j M. de Mun n'aura pas lieu, croyons- j nous, d'être fort satisfait de son algarade j et les quelques paroles prononcées par M. j Jules Simon à la séance d'avant-hier, nous ] font prévoir la réponse Iqu'il portera aujourd'hui à la tribune. |...