Extrait du journal

Uuant à rappronriation des biens allemands de Hhénanie, les juristes ont à s'accorder sur les clauses de l'article 248 et les droits collectifs des alliés, car, à première vue, les biens allemands constituent une hypothèque commune et qui ne peut être appropriée légitimement par la France seule hln ce qui touche le plan de M. Poincaré relatif aux réparations, on pense à Londres crue. s'il est vrai que la Belgique puisse accepter l'échange de son droit de priorité contre une augmentation de sa part de réparation de 8 à 10 %, d'un autre côté l'Italie pourra taxer la France « d'égoïste fieffée ,) en voyant sa part réduite de 10 à 1 %. Enfin, en réclamant 89 % des versements allemands, là France s'acquerrait une mainmise trop exclusive sur l'industrie allemande, ce qui serait grave au point de vue commercial et économique international....