Extrait du journal

Il est vrai eue l'Union interparle: manfaire a dû, pour qu'un tel rapornent fût possible, se prêter à s une définition assez large de son objet. Devant l'Europe telle qu'elle est, c'est-à-dire telle que l'a faite depuis ' une dizaine d'années le déclin dans un trop grand nombre de nations des institutions de liberté, elle pouivait se résigner à exclure de son sein les représentants des pays dans lesquels le régime parlementaire, au sens strict du mot. l1e fonctionne PLUS. On voit tout de suite ce qu'elle aurait perdu en étendue. C'est ainsi Que notre « Entente internationale des partis radicaux », dont l'objet, est différent, et qui se doit de se montrer plus exigeante sur la doctrine, a vu se restreindre d'année en année, depuis sa fondation, le nombre des capitales où elle pouvait ; être accueillie. N'avait-elle pas tenu un de ses premiers congrès à Stuttgart, un autre à Athènes, un I autre, et des plus brillants, à Sofia. Mais où sont l'es roses d'an- j tan ?... ! I Je suis de ceux qui féliciteront les f dirigeants de l'Union interparlementaire d'avoir, au contraire, estimé qu'il valait mieux pour elle ne pas se montrer trop rigoureuse sur le sens des mots ; elle a voulu garder des rapports aussi cordiaux et aussi confiants qu'il se pourrait avec les membres des « Corps législatifs » des nations mêmes où leurs attributions et leurs pouvoirs diffèrent profondément de ceux DES assemblées parlementaires telles qu'on les comprend chez nous ' il lui paraissuffisant que ces hommes politiI nues, dont plusieurs jouent un rôle ; Â(R-J^SOXOR PLAN,. téinowiit,-nt par...