Extrait du journal

Quand j'étais à Budapest, cet automne, les esprits étaient déjà très surexcites, j'ai eu alors l'occasion de causer avec . beaucoup des hommes politiques les plus en vue Parlement. To^ étaient inquiets de l'avenir. Ils sentaient bien que l'empereur, qui n'est que roi en Hongrie, mais qui tient-à «es prérogatives et à ses droits, ne céderait jamais aux prétentions magyares et que, d'un autre côlé, la politique hongroise était engagée de telle sorte qu'elle ne pourrait rien rabu«CT2*de ses revendications. Et l'un d'eux me disait cette phrase caractéristique « Je crains que le génie de notre pays l'ait un moment abandonné. »...