Extrait du journal

do la Banque ottomane cl qui. ri æt juste do le reconnaître,* contenait des dispositions assez sage». Uï> Vend point était laissé do côté : ot co point, c’était lo contrôle. La Porto s’était dit qu’on traitant avec, la Banque ottomane, établissement impérial, elle évitait l’immixtion directe dos puissances dans les affaires macédoniennes. Qui sait méso si, avec le temps, h l’abri do toute surveillance, on no reviendrait pas à l’état do choses ancien ; si la réforme ne disparaîtrait pas sous les atteintes de la routine? En prenant les devants, la Porto comptait sur une liberté d’action — ou d’inaction — qui eût rendu impossible lo contrôle euro péan. Les ambassadeurs, si optimistes qu’ils soient par fonction, n’balleront pas jusqu'à accepter ce point do vue. Et au mois de mai ils réclamèrent la nomination dos contrôleurs. Le conflit désormais était ouvert....