Extrait du journal

Domain s’ouvre la conférence «le lumières. L«*s a«l versa ires «1e M. Briand ont essayé d'accabler cet intelligent homme dT.lat eu «le violentes cl perfides interpellations. (î est une singulière façon de renforcer son prestige et celui de la France dans les discussions interalliées. Ces grands messieurs, qui agissent ainsi el qui agissent mal sont partisans du tout, ou lieu. Quelle méthode I ils raisonnent connue si lu France était seule, comme si elle pouvait recommencer une guerre, comme si nous étions en champ clos avec un ennemi. Tous, noua voulons que l'Allemagne paye son dû. Tous, nous voulons aussi maintenir notre alliance avec 1 Angleterre. Un désaccord avec la Grande-Bretagne serait fâcheux: une rupture, un désastre. Le plus élémentaire hon sens indique que lorsque deux commerçant* ont le môiii.* débiteur et le même créancier, ils n’ont pus intérêt à se brouiller, mais à se sentir les coudes. Je vous demande bien pardon de refléter celle idée simple. 1/Angleterre et nous, nous sommes solidaires, parce que nous devons aux EtalsUnis un nombre respectable do milliards et parce que l'Allemagne est notre débitrice. M. Lefèvre, le jeune M. Forgent, M. Tardieu, qui brandit son |x>rte-plume comme une pique, s’écrient : « Allons-y tout seuls. Vous allez voir ce (pic vous allez voir. » Je nu vois que des complications et des échecs. Je vois que M. Briand a raison et qu'il essaye de tirer le meilleur parti do la situation, «l'accord avec 1 Angleterre et i'Italie....