Extrait du journal

Le* radicaux regimbent, et il n'y R pas grande félicitation à leur en adresser. Lo piège est véritablement trop grossier, et M. Louis Marin ne dit pas tout ce qu'il pense. S'il avait ajouté que l'union des radicaux et des socialistes, si elle est tant soit peu bien préparée et solidement faite pour les élections cantonales, assurera des victoires nombreuses, et pour les législatives de 1932 serait le signal d un écrasement pour les « Nationos », il nous aurait dévoilé le secret total do sa préoccupation....