Extrait du journal

I n autre a trouvé mieux. En lin 1916, i! demande une permission pour aller à 1 étranger veiller sur un certain nombre de wagons-foudres spis se trouvaient en détresse. L’affaire tire en longueur. Deux ou trois prolongations de congé sont accordées. Pendant ce temps, ses wagons revenaient en l’rance, puis s’en retournaient, et ce va-et-vient se soldait par un trafic respectable. Lorsque ce truc fut éventé, il en trouva un autre. Du jour au lendemain, il se découvre des aptitudes particulières pour l’importation du soufre. Il fallut encore plusieurs semaines pour le détourner de celle voie profitable. Enfin, ses chefs obtiennent «pie son congé ne lui scia pas renouvelé, et croient 1 affaire finie. Quelle n est pas leur surprise d'apprendre. un mois plus lard, «pie I intéressé était de nouveau à l’étranger. celle fois comme fournisseur de 1 Liai français! Il avait obtenu un marché, lui militaire on activité de service, pour une denrée de première nécessité, el sa chance avait mime été telle «pie le prix qu'il avait fait! accepter au gouvernement Irancar était notablement supérieur à ce qu'aurait pu établir la commission officielle, si bien (pie la villégiature de ce militaire « loin des balles » avait coûte à l Etat quelque chose comme 250.000 tram s....