Extrait du journal

y avoir des candidatures officielles en Corse, ce qui serait absolument "contraire à tous mes principes républicains, j’ai voulu rester incrédule et j’ai voulu, à plu sieurs reprises, voir M. le président du conseil, non pas pour lui demander son appui, mais simplement le démenti de sa bouche, d'un fait aussi monstrueux et l’assurance de sa neutralité en face des candidats républicains seulement, bien entendu. Il a refusé de me recevoir ! Mes amis devront en prendre leur par ti ; il n’y a rien à faire en Corse. Les ha bitants voteront pour deux hommes bien décidés à servir les Corses et non pas la Corse; les Allemands continueront à dé truire leurs belles forêts et il n’y aura personne pour prendre en mains, non pas les intérêts de ceux qui veulent des sinécures, mais les intérêts économiques de Vile et ça ira jusqu’à la ruine finale ! Il faut avouer que les Corsés l’auront bien voulu et que ce üera bien de leur faute! Après tout, je n’ai point le pou voir de les empêcher de se suicider !...