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La Fronde, 3 juillet 1926

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La Fronde
3 juillet 1926


Extrait du journal

La fête du 14 juillet représente pour nous une dépense de 340.500 francs, plus les frais occasionnés par le déplacement des troupes devânt figurer a la, Revue. Ne pourrait-on, puisque nos fi?, nances ne sont point en très brillant état, supprimer cette année ces dépenses « somptuaires » et laisser l'imagination, la gaieté populaires y suppléer 7 Les feux d'artifices, les représentations gratuites, les concerts ont raison d'être. Ce sont de vrais divertissements et qui ont des amateurs nombreux. Leur utilité pour eoner les réjouissances peut être considérée. Les bals fi» bUes sont ordinairement organisés âaap les carrefours par les marchaindfc dit vins intéressés, pourquoi figurent-ils aux dépenses de la ville pour une somme de 20.000 francs ? S'il est des Parisiens qui ont encore besoin d'être renseignés par des affiches ou une publicité quelconque sur les plaisirs que leur offre le 14 juillet, mieux vaut les laisser dans leur ignorance que de dépenser 10.000 francs pour les en tirer. Enfin, que peut-on bien trouver de décoratif, de gai dans les affreux pilônes et les mâts disgracieux sans lesquels, parait-il, il na...
La Fronde (1897-1929)

À propos

La Fronde est un journal quotidien féministe fondé à la fin du XIXe siècle par Marguerite Durand.

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