Extrait du journal

Comment ai-je pu rencontrer Uiulibano dans la cuisine sombre d’une misérable « trattoria » des faubourgs île Païenne, au hasard de la brève escale f Ce général de brigands n’a pas l’habitude de tenir des « conférences de presse ». Toutefois, il a indéniablement un sens certain de la publicité. Grâce à l’introduction d’un œuffias français, ancien docker de Marseille qui, en rupture de ban, a échoué dans le grand port sicilien, j’ai pu en me recommandant audacieusement de la journaliste suédoise Maria Cytia eus, une grande amie du bandit, être reçue par celui-ci....