Extrait du journal

Eu attendant que lus élections du 11 mai viennent donner une nouvelle force à la manifestai ion républicaine du 27 avril, c'est toujours la nomnal'ou île M. Barodet qui fait les frais do la polémique. A euleudrv les royalistes, il semble que nous touchions aux amok et que les temps do désolation prédits par l’Apocalypse soient arrives: la France est perdue et l'Europe atterrée. Si le hasard avait retardé d’une nuit seulement le terrible désastre atmosphérique qui a désolé nos départements viticoles, nul doute qu’on n’eût trouvé moyen de mettre aussi la gelée au passif des électeurs parisiens. Ce serait à croire que le ben sens, cette qualité caractéristique de la race française, a abandonné certains île nos compatriotes, si l’on ue savait jusqu’où les u hommes d’ordre » poussent l’amour du désordre et la mauvaise toi. En vérité,té, il nous est impossible do.' voir un ogre démagogique!-, un anaivmsfe incorrigible dans un homme qui a sagement administré, pendant dix-huit mois, la seconde ville de France, et. dont le premier mouvement — on lira plus loin sa lettre — est de prêcher il ses électeurs le respect des lois, et de promettre son concours au gouvernement qui s’est engagé à fonder la République....