Extrait du journal

Permettez-moi * dcLrdkti-cier tout d’abord l’Association des amer françaises de l’honneur qu’elle me fait en m’associant à son œuvre de patriotisme et de dévouement. Le désir le plus cher de chacun de nous, à l’heure présente, c’est de consacrer de quelque manière, à la patrie les forces et moyens d’action dont d dispose. Mais n’est-on pas assuré de remplir excellemment ce devoir, en s’unissant aux femmes de cœur qui donnent a nos; chers blesses, avec les soins les mieux entendus et les plus défie ‘te’? r reC° °rt. 13 Sympathie 18 P1US COrdiale et 13 P*"® délecte ? Ce que réclame, avant tout, la patrie, c’est une union étroite de 1 armez et du pays, combinant leurs efforts en vue de a tache commune. Votre œuvre est de celles qui manifestent et développent cette solidarité indispensable. L’âme de la France...