Extrait du journal

Dans ces conditions, autant vaudrait ne pas ruser avec les I faits. On comprend parfaitement ! le souci de certains, qui sont désireux de limiter clairement aux quelques années où elle sera mathématiquement nécessaire la prolongation du temps de service. Il doit être possible de les satisfaire sans donner le sentiment dérisoire que, pour des raisons électorales, on n’ose pas, eu une matière aussi grave, dire oui ou non. i Si, c’est oui, qu’on en finisse : si c est non, qu’on le dise aussi, mais malheur à qui se sera trompé et aura risqué d’amener la catastrophe sur son pays ! Les plus misérables seront encore ceux qui s’apprêtent à sacrifier leur conviction intime aux intérêts d’un scrutin....