Extrait du journal

J’ai l’honneur de vous n’a pas dépendu du gouvernement français que la crise que subissent les relations commerciales franco-portugaises fût plus rapidement conjurée. Ainsi que vous Je savez, lorsque le gouvernement s’est vu dans l'obligation, au mois de juin dernier, d’appliquer le tarif général aux vins portugais et grecs, pour faire face ù la crise vinicole. il a eu soin de spécifier qu’il s’agissait d'une mesure provisoire et il a proposé à ces deux pays de maintenir les relations antérieures par l'établissement d'un dodus vivent d’où seraient seuls exceptés les vins ordinaires. Cette solution, acceptée par la Grèce, a été refusée par le Portugal....