Extrait du journal

A quoi, en prévoyant de l’avenir, on ajoute le contrôle des changes ; à son abri, on peut pratiquer la politique la plus inconsidérée sans que, pour un temps du moins, les inconvénients en soient apparents. Grâce à ce contrôle, on pourrait en 1939 recommencer un 1936 très aggravé, sans être obligé à la première crise monétaire de s’échouer sur un accord tripartite, à propos de quoi l’honorable M. Pineau nous déclare en passant que celui de 1936, grande pensée du règne de M. Vincent Auriol, n'a « rien représenté pour notre pays »....