Extrait du journal

IL vaudrait peut-être mieux ne parler de la fin du uiXtna.de que pour saluer les victimes qui se sont offertes en holocauste à la patrie et à la science. Le cinéma a du bon. Mais, par pitié pour ce qui reste de spiritualité sur cette terre, ne prenons pas l’habitude de transformer tous '.es actes ou les malheurs de notre humanité en distraction populaire. D’autant que le véritable drame, celui qui est grand et qui a une signification, se passe là où personne ne saurait l’atteindre, dans la conscience des héros....