Extrait du journal

Oui, j'aurais voulu qu'en arrivant à Paris, le 29 juillet 1914, M. Viviani conseillât à la Serbie une capitulation plus complète. Oui, monsieur, et vous auriez dû, s'il n'y consentait pas, i-nterveiiir personnellement. C'eût été plus noble et plus courageux que de vous retrancher, comme vous le faites, derrière la Constitution quand les faits vous gênent. Vous contresignez les actes de vos ministres, donc vous êtes comme eux responsable. Si vous aviez voulu la paix, vous seriez intervenu en tant que de besoin auprès de la Serbie....