Extrait du journal

.bouches de salin ou de maroquin, à l'heure où votre mari câlin — ou bien votre amant épris— s'assied à vos pieds, tout heureux de sentir vos petons ta-, quins chercher les bons endroits pour se. réchauffer ! Oh ! les petits pieds nus, pareils à des roses blanches dans l'écrin des mules rouges, Jes petits lutins avec lesquels on joue à cache-cache ! « Je m'arrête. J'en aurais trop encore à dire. et je préfère laisser d'abord la parole à mes confrères et consœurs èsconsultations frivoles auxquelles, Madame, vous présidiez avec tant de bonne grâce et de spirituelle impartialité. Mais je me réserve de conclure — et d'achever toute ma pensée — lorsque d'autres opinions auront été émises, à la barre de votre libre tribunal d'élégance. »...