Extrait du journal

Il est vrai que M. Paul Vaillant-Couturier a écrit dans le langage imagé autant qu'élégant qu'il lui plaît de prendre pour ses lecteurs moscoutaires, que nous avions marché, Pierre Bertrand comme nous, parce qu'on nous avait « sonnés. ». Il faudrait le « sans blague » et l'inimitable accent de Grock pour souligner toute la drôlerie de Vaillant-Couturier quand il gonfle ses joues puériles et arrondit une bouche d'enfant de chœur pour faire croire que le feu de l'enfer va jaillir de ce gouffre ingénu. Non : Vaillant-Couturier n'a jamais sonné que la messe, et c'est tout à son avantage! Qu'il laisse, du moins, aux journalistes qu'émeuvent les dénis de justice et les offenses au...