Extrait du journal
Je sais bien qu'il ne faut rien dire des gens en place, surtout des magistrats, gens d'armes, greffiers, geôliers, capitaines de chiourme et autres beaux seigneurs pleins de mérite, mais si, cependant, sous menace de mort, je devais conclure, je les qualifierais d'hypocrites ruffians et de m. sans vergogne. car il me faudra deux ans pour me reposer des trois mois de repos qu'ils m'ont donnés. Et encore, à travers songes, j'ai peur de voir repasser à la file, comme à présent dans la réalité, l'exempt, le juge inquisiteur, le geôlier, le greffier, le capitaine, son fils, et l'homme sans fonctions précises, leurs cousins, leurs, amis, leurs connaissances ; toute la bande enragée : Pandore, Pamphile, Pantin, Pancrasse, Pantaléon, Pandard, et cœtera Pantoufle.. :...
À propos
Le quotidien La Lanterne fut lancé le 21 avril 1877 à Paris par Eugène Mayer – alors coulissier à la Bourse – avec le soutien actif des radicaux de Lyon. Il connut d’abord un important succès grâce à une ample campagne de presse et à son soutien véhément du boulangisme. Titre phare de la presse radicale, le journal voit son influence s’affaiblir considérablement durant l’entre-deux-guerres avant de disparaitre définitivement en décembre 1928.
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