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La Liberté, 25 septembre 1920

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La Liberté
25 septembre 1920


Extrait du journal

I Venons pour exemple une industrie ria l'intermédiaire entre le producteur «t le cuiixommaU ur - |X)ur l’objet neuf - est réduit à sa plus simple expression : l'automobile. S'il est de nombreux tnie'inédiaires pour la voiture d'occasion, (in peut dire que, quand il s’agit :te la coniiimnde d’une automobile neuve. leur nombre est, en général, réduit a un : l'agent du constructeur. Bien souvent même, ce dernier prend directement, sans aucune intervention étrangère à son usine, la commande du client. Toute cette poussière d intermédiaires plot vivent - ou dont meurent — certain- commerces, est donc ici supprimée. Or, le prix du produit s’en trou veto! diminué ? A nulle époque, dans nulle contrée, on ne vit des prix semblablement fabuleux ! L intermédiaire n’est pendant ici pour rien. Alors, qu’y atr! ?...
La Liberté (1865-1940)

À propos

La Liberté est un quotidien fondé en 1865 par Charles Muller, publiciste et polémiste. En 1866, il est acquis par Émile de Girardin, qui quitte sa fonction de directeur à La Presse pour le diriger jusqu'en 1870. Considéré comme l’un des concepteurs de la presse bon marché, il va sauver le titre en faisant passer son prix en dessous du prix de revient, et en inventa un nouveau cadre : il réduit la taille des articles, et intégra des rubriques uniques de sports, d’actualités régionales ou de littérature.

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