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La Liberté, 7 octobre 1870

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La Liberté
7 octobre 1870


Extrait du journal

Ces rassemblements de bataillons ont le mandé; il ne songeait qu’à le contenir pour double tort de se former sans l’ordre du coin- ' lui imposer une humiliante pacification. U’est mandant supérieur des gardes nationales, dans ce but qu’il soulevait les paysans et les sans l’ordre du ministre de 1 intérieur, les | poussait aune jacquerie contre les hommes de deux seules autorités qui soient compétentes ; l’opposition et les propriétaires aisés. Vaine pour disposer de la milice citoyenne ; et, ce ! ment les indignes ministres qui provoquaient qui est beaucoup plus grave, de donner à la j ces crimes ont-ils nié leur participation; il cité parisienne des apparences de sédition suffit, pour le- condamner, de constater aussi contraires à la réalité que favorables qu'avec eux ont disparu toutes traces d agi...
La Liberté (1865-1940)

À propos

La Liberté est un quotidien fondé en 1865 par Charles Muller, publiciste et polémiste. En 1866, il est acquis par Émile de Girardin, qui quitte sa fonction de directeur à La Presse pour le diriger jusqu'en 1870. Considéré comme l’un des concepteurs de la presse bon marché, il va sauver le titre en faisant passer son prix en dessous du prix de revient, et en inventa un nouveau cadre : il réduit la taille des articles, et intégra des rubriques uniques de sports, d’actualités régionales ou de littérature.

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