Extrait du journal

S'ils avaient lu Maeterlinck, ils auraient trouvé, dans sou livre sur In Mort, des argument- en laveur de leurs réclamations. Maeterlinck démontre que la. crainte de la mort qui nous étreins bien plus rudement quelle elle n’étreignait les anciens, tient en partie à la hideur des pompes funèbres. Seules les cérémonies de I Eglise, ennoblies par la magnificence des chant- liturgiques, conservent de la majesté. Le relou est lamentable, d'une affreuse misère, et d un goût épouvantable. On organise des concours moins utiles que ne serait celui-ci : projet de renouvellement du matériel, des costumes, de l'ornementation funèbres....