Extrait du journal

L’ébranlement de février, le contrecoup qu’en avaient ressenti les différents peuples de l’Europe, les soulèvements qui en avaient été la suite, toutes ces agitations, toutes ces révolutions jetaient notre Constitutionnel dans des crises trop fréquentes et trop dangereuses pour ne pas inspirer des craintes à ses amis. C’est dans ces moments terribles qu’il dictait ses plus courageuses catilinaires contre les membres tombés du gouvernement provisoire, contre les ministres depuis longtemps remplacés par les hommes selon son cœur, c’est alors qu’il invectivait, à travers l’espace, les nobles défenseurs des Eeuples, c’est alors qu’il appelait Garibaldi un brigand, et les...