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La Lumière, 28 septembre 1929

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La Lumière
28 septembre 1929


Extrait du journal

Lorsque, donc, il nous renient de ^e^UuT8> M source"allemande que M- Paul-Rey- 'lut-meme reconnaître les faits. Pour baud a eu des entrevues secrètes avec les pires ennemis de la France, nous avons le droit de lui demander compte de ses actes et de ses paroles, à lui, ainsi qu’à la majorité qui le suit. Et nous avons le droit de dire notre stupeur de tant de duplicité ou de tant de légèreté. • Comment! Il n’est pas de jour que M. Paul-Reynaud ou la presse de son parti ne nous accablent de basses injures parce que nous recherchons les solutions des grands problèmes internationaux avec des A allemands épris de , paix, qui, au péril de leur vie, combattent chez eux le militarisée et l esprit de revanche. Ce lest pas seulement l’Xmi du Peuple, c’est Z’Echo de Paris, c’est même le Temps qui lancent, a ce propos, contre les hommes du Parti socialiste, du Parti radical ou de la TA que des Droits de VHomme l accusation de trahir les interjetés de la France....
La Lumière (1927-1940)

À propos

La Lumière est un hebdomadaire radical-socialiste fondé en 1927. L’économiste Georges Boris en est son directeur et son comité de rédaction est composé de personnes influentes de la Troisième République, dont Ferdinand Buisson, Président de la Ligue des droits de l’Homme, l’historien Alphonse Aulard et l’instituteur Émile Glay. Proche des groupes de réflexion sympathisantes avec la gauche socialiste, on y trouve de nombreux articles portant sur la théorie économique.

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