Extrait du journal

— Oh ! du côté de Valenline, je suis sans I inquiétude. Elle a, du reste, besoin elle- I même d affection, besoin de la vie de ta- I mille, car pour ce qui est de moi, elle me I voit trop rarement. El tiens, je m’en sou- I viens : un jour que j’étais allé la voir à son I couvent, elle me munira une de ses cama- I rades qui accourait au parloir : « C’est une I qui va rentrer chez elle bientôt, me dit- I elle dans son langage de pensionnaire; elle I a de la chance, son papa vient de se renia- I rieur, et sa belle-mère, qui est très gentille, I la veut à la maison. » Je suppose donc que I si pareil sort lui échéant, elle s’en réjouirait. I...