Extrait du journal

tacle, il n'y est digestion que de marquises, de comtesses, de baronnes. Leurs toilettes, leurs bijoux, leurs hôtels, leurs équipages , y sont minutieusement décrits Elles ne peuvent changer de chemise ou d'amant, sons que la trompette de la renommée n'en informe le public. Le chroniqueur peur mondain les suit partout, au Bois, à Saint-Augustin ou à la Madeleine, dans leurs alcôves et dans les cabinets particuliers. Car il parait quelles elles font la noce et rôtissent des balais, comme de simples blanchisseuses, entre messe et vêpres. Seulement, leurs escapades s'appellent des « petites débauches de bon ton ». Notez que les journaux qui étaient si...