Extrait du journal

à être lui, terrien que lui, et qui ne trouve p banal de chanter le printemps et l'a- \ nanar, cet vieilles rengaines éternellement neuves! G est rare par le temps qui \ court, H niés par les souvenirs de D tu-1 glaire et des P rn siens, les jeunes | P’êtes prennent dre poses hépatiques, bannis n' la passion comme trop banale. C s pessimistes voudraient mettre un I crêpe ou ciel bleu. Ils se perdent danse leurs rêves grecs ou chinois, sème voir les ! ro es qui j mussant à leurs pied» et les jolies fi es qui poison* sur leur chemin. Avec M. Félix Frank pas de cris de dé- I...