Extrait du journal

Chargé, en 1Q03. du rapport parlementaire sur le projet de loi tendant à prohiber l’emploi de la clause dans les travaux de peinture, Louis Breton était frappé de l’insuffisance scientifique des études faites jusqu’alors sur ce produit toxique. Il les reprenait à la lumière des méthodes les plus rigoureuses et des expériences les plus précises et les conclusions auxquelles il parvenait dissipaient toutes les obscurités, mettaient un terme définitif aux interprétations fantaisistes dont un esprit vraiment scientifique n’avait pu jusqu’alors s'accommoder. Du jour où ces expériences concluantes étaient faites, on peut dire que le vote définitif de la loi était acquis. Ce n'était plus que question de temps....