Extrait du journal

Ce qui donne à réfléchir à M. Barthon, c’est la mésaventure qui advint — c’est tout frais — à son subordonné M. Mouton. Une superbe pendule fut subtilisée dans son propre cabinet. Voler une pendule ! Ce ne pouvait être que les Prussiens ! C’étaient les camelots du roi, toujours et encore, qui étaient entrés comme chez eux dans le cabinet directorial des services pénitentiaires. Ils rapportèrent l’objet au con» cierge de M. Barthou avec un mot aimable : « Quand on a prît% une pendule, on peut prendre des dossiers ». Et c’était signé : « La Main Blanche *». •...