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La Patrie, 18 juillet 1860

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2.11.4

La Patrie
18 juillet 1860


Extrait du journal

tics ne trouverait nen de mieux, pour rompre Le monde, voyez-vous, est ainsi fait II ne manque pas de gens qui oublient, à un moment donné, les distances sociales pour se jeter, surtout à notre âge, dans une aventure romanesque, et cela tête baissée et souvent de fort bonne foi. Mais quand l’habitude a émoussé la passion, quand la possession de l’objet envié est consommée ou devient certaine, les inconvénients de la situation, les petits mécomptes, apparaissent et grossissent L’ennui est le plus grand fossoyeur qui existe mi-bas. Reconnaissez que votre bourgeois ou, si vous le préférez, que votre gentilhomme déguisé en ouvrier, retrouvant ailleurs une ancienne maîtresse abandonnée dans un jour de dépit, ou mieux peut-être encore hélai) un lambeau de fortune, ne s’est plus soucié d’une ouvrière de village qui s’appelait Yseure, d’un brave et Jo.vaï camarade qui s’appelait Chenevière! Maurice ; peut-être feriez-vous bien de l’accepter 1......
La Patrie (1841-1937)

À propos

Fondé en 1841 par Auguste Lireux, La Patrie, journal quotidien, politique, commercial et littéraire est un quotidien d'information générale du Second Empire. Considéré comme un journal pro-impérial, il fut racheté par l'homme politique Théodore-Casimir Delamarre en 1844, aussi propriétaire de La Commune et L’Esprit Public, qui en fit un journal du soir.

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Données de classification
  • gladstone
  • chenevière
  • a. tranchant
  • manna
  • jean béraul
  • kinglake
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