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La Patrie, 21 mai 1899

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La Patrie
21 mai 1899


Extrait du journal

Ce n’est pas la faute des mercenaires tt des sicaires qu’on avait à Grenoble soudoyés, fanatisés et armés contre nous, si nous avons pu quitter sains et saufs la grande cité dauphinoise, que nous ne rendons nullement responsable des attentats commis par deux ou trois cents bandits, Gambetta eût traité ces brutes « d’esclaves ivres ». Ils ne peuvent même pas invoquer l’excuse de 1 esclavage. C’est volontairement qu’ils avaient accepté la besogne et le salaire.... besogne d’assassinat, salaire du crime. Journées honteuses qui auraient pu devenir sanglantes ! Car si le sang n’a pas coulé, on le doit uniquement à la froide énergie, à l’inébranlable modération des patriotes, odieusement attaqués....
La Patrie (1841-1937)

À propos

Fondé en 1841 par Auguste Lireux, La Patrie, journal quotidien, politique, commercial et littéraire est un quotidien d'information générale du Second Empire. Considéré comme un journal pro-impérial, il fut racheté par l'homme politique Théodore-Casimir Delamarre en 1844, aussi propriétaire de La Commune et L’Esprit Public, qui en fit un journal du soir.

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