Extrait du journal

11 y a dans l’ombre lumineuse qui suit le brillant cortège de Napoléon Ier, une aimable, délicate, touchante et délicieuse figure, qui hésite à se montrer, réclame, semble-t-il, assez volontiers le silence, et ne demande qu’a se laisser oublier. C'est celle de la douce et discrète Polonaise qu'aima l’tempeerieur, c’est la comtesse Marie Walesta. M. Octave Aubry, dans un volume qui vient de paraître à la l’prairie Fayard, n’a pas craint de fouiller le tendre mystère de cette existence et de projeter sur cette idéale figure, un rayon de pleine lumière. Ne nous en plaignons -pas trop, car nous faire mieux connaître Marie Walewska, C’est nous la faire mieux aimer...