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La Petite Bourgogne, 2 janvier 1888

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La Petite Bourgogne
2 janvier 1888


Extrait du journal

Vn étranger, un Iroquois par exemple, qui viendrait chez nous se tiendrait le raisonnement suivant : dès lors que J’on chasse les sœurs de tous les hùpita.’i, qu’on passe outre aux protestations Hu libre penseur républicain le Dr Desprès, «ju’on les remplace par des femmes auxquelles on a déjà eu souvent a imputer demauvais traitements envers les malades, le gaspillage du matériel des hôpitaux, l’ivrognerie, etc., c’est que les Sœurs sont des femmes bien dangereuses. Sans doute elles désertent en temps de danger ou d’épidémie, sans doute elles ne soignent pas les malades, sans doute au point de vue de la moralité, de la tempérance, de la probité vulgaire, elles sont au dessous des infirmières laïques par lesquelles ou les remplace. Notre Iroquois eu conclurait que les pauvres, que les malheureux, que les malades des hôpitaux se plaignaient depuis longtemps des sœurs, en supposant qu’il n’ait pas cris la peine de lire avant de conclure, les protestations des malheureux contre les la cisatins des hôpitaux....
La Petite Bourgogne (1884-1890)

À propos

La Petite Bourgogne est un quotidien régional, bourguignon et républicain. À partir du 1er octobre 1884, il devient propriété d’une société anonyme appelée la Petite France de l’Est et revendique ainsi une « indépendance complète ». Il est dirigé par Bernard-Baujeau.

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