Extrait du journal

quor avait une cause toute naturelle et nullement mystérieuse. — Et cette cause, peut-on la connaître ? — L’orage qui m’accablait et me faisait horriblement mal aux nerfs. — Ta ta ta! ma nièce chérie, j’y vols clair et J’en sais plus long que toi. Cer tainement il y avait de Forage dans l’air, mais il y en avait surtout dans ton cœur. Ce Joli coeur, vois-tu bien, n’a point de secret pour la bonne tante Sylvanire. Je ne te les demande pas ce soir, tes petite secrets. Nous en causerons demain. GeorJes est charmant. Ne sois pas jalouse. ai la tête tournée de lui! Allons, bon soir, ma mignonne, il se fait tard, allons noue mettre au lit. Veux tu que ie sonne pour que Flore vienne te dévêtir T... — Non, chère tante, ne sonnes pas. Flore n’est plus A mon service. — Elle t’a quittée T — Je l’ai congédiée. Madame de La Margelle poussa un cri de surprise. — Tu as renvoyé Flore l dit-elle avec une stupeur manifeste. Est-ce possi ble T... — Oui, ma tante. — Mais c’est de la folie I Comment I tu as fait cela après ce que Je t'avais dit, après ce que tu m'avais promis T — Pour rien au monde je n'aurais con senti A garder plus longtemps auprès de moi cette Impertinente créature. — Avals tu donc à lui reprocher quel que autre chose que ce que J’ai eu la ma ladresse de t’apprendre f... — J’avais A lut reprocher la plus gra ve, la plus impardonnable de toutes les offenses ... — Voyons... voyons... raconte-moi cela... Marie fit A madame de Le Margelle un récit rapide des circonstances que noue connaissons déjà et qui aVaknt motivé le renvoi immédiat de la «oubfette. — Ce billet de Georges, demanda vive ment la baronne, qu'eet-U devenu T — la l'ai brûlé....