Extrait du journal

— Ah ! si j’avais su... Mais jo ne sa* vais pas, et après, quand j’ai appris.« c’était fait. — Diable, diable, voilà un début qui pique singulièrement ma curiosité. — An ton in, une question d’abord. • — Va pour la question. — Es-tu content de ton nouveau va-» let de chambre ? — Mais oui, il fait assez bien mon affaire. —Il est convenable avec toi 7 — S’il ne l’était pas, je le chasserais comme j’ai chassé l’autre. — Est-ce que tu ne lui trouves pas un air drôle ? — Hé, je ne fais guère attention & l’air de mon valet de chambre. — Peut-être est-ce un tort, mon ami. Enfin écoute ce que je vais te dire et,.' je t’en prie, ne te mets pas en colère contre ta petite Clérie. Je te le répète, je ne savais pas, j’ai été trompée. croyais, tout en faisant plaisir à ufW amie, rendre service à un brave et honnête homme, et c’est un misôrnble que je t’ai fait accepter pour valet de chambre. — Hein, que me dis-lu là 7 — Antonin, ton valet do chambre n’est pas ce M. Laurent que j’ai con nu autrefois et que je croyais te reç< commander. _ — Alors, qu’ert-oo que c’est que cel homme 7 tu «livrai...