Extrait du journal

religieuse; mais je suis de ceux qui se d£v /lent de l’ascendant du prêtre sur la femme, et je crois qu’il est imprudent de trop favo riser cette Influence qui, de l'hypocrisie pateline et douceâtre, passe si facilement à l'effronterie et à ta domination spoliatrice. Où M. Jules Simon parle avec une auto rité magistrale, c’est dans ces questions si délicates ; le choix d’un mari, le choix d’ua état ou d’une carrière. Il y a là des pages exquises ; mais les autres l’étalent aussi, car on doit tout lire dans ce livre, où it n'est pas uno ligue qui ne fasse penser. Les douze derniers chapitres me paraissent être do Gustave Simon, lis aliondenten pré cieux conseils sur l’hygiène de là famille, depuis le berceau et la première dent jus qu’à la première soirée, voire même Jus qu’au voyage do noces, le tout écrit en ex cellent stylo. La Femme au vingtième siècle est une belle œuvre et une œuvre utile. Victor Hugo m'écrivait : « L’artiste vrai est celui qui emploie la recherche du beau à la création du bien. » Jules Simon est un artiste vrai, et un grand artiste. Paul l’OUCHEH....